TRAVAILLISME (1900-1970)

TRAVAILLISME (1900-1970)
TRAVAILLISME (1900-1970)

Il a fallu à peine plus de vingt-cinq ans au Parti travailliste britannique (Labour Party), après sa création, pour ôter au vieux Parti libéral de Gladstone et Lloyd George toute chance de retour au pouvoir. Il lui a fallu moins d’un demi-siècle pour se montrer capable d’emporter la majorité des sièges à la Chambre des communes et de former, seul, un gouvernement majoritaire. Destin hors du commun dans un système bipartisan: les tiers partis, normalement, n’y ont aucun espoir de s’imposer face aux deux grands; destin qu’expliquent, cependant, l’histoire d’un mouvement enraciné dans le peuple par la médiation des syndicats, la structure et l’organisation d’un parti où le pouvoir est partagé sans être pour autant bloqué, la tactique et la stratégie d’une force politique à la fois ambitieuse et pragmatique, l’idéologie – enfin – d’un socialisme parlementaire qui a d’emblée répudié la lutte des classes, au pays où Marx est enterré.

1. Un parti qui s’impose

Durant la première moitié du XIXe siècle, la révolution industrielle avait nourri des idées nouvelles, telles celles de Robert Owen, et lancé, en dépit de la répression (Peterloo massacre , 1819; Tolpuddle martyrs , 1834), un syndicalisme désormais distinct du corporatisme médiéval. La seconde moitié du siècle, avec l’extension du droit de suffrage en 1867 et 1884, donne au mouvement ouvrier britannique l’accès au système politique qui lui avait d’abord été refusé (échec du chartisme vers 1850). Dès lors, les organisations politiques ouvrières se multiplient: Ligue pour la représentation du travail (Labour Representation League, 1869), aussitôt satellisée par le Parti libéral; Fédération démocratique (Democratic Federation, 1881), marxiste et intellectuelle, sans grande audience; Société fabienne (Fabian Society, 1884), dont l’idéologie concilie la démocratie parlementaire et l’idéal socialiste; le Parti travailliste écossais (Scottish Labour Party, 1888), dont l’animateur James Keir Hardie, élu à la Chambre des communes en 1892, participe en 1893 à la création d’un parti à l’échelle britannique, le Parti indépendant du travail (Independant Labour Party, I.L.P.) qui, faute de soutien syndical, ne parvient pas à se développer.

La fondation

En 1899, enfin, la confédération des syndicats britanniques, le Trade Unions Congress, décide en son congrès, par 546 000 mandats contre 434 000, de convoquer l’année suivante les délégués des syndicats, des coopératives et des sociétés socialistes, pour étudier en commun les mesures propres à accroître le nombre des représentants des travailleurs au Parlement. De ce congrès constituant, réuni à Londres les 27 et 28 février 1900, naît une organisation assez lâche, aux ambitions purement électorales, le Labour Representation Committee (L.R.C.). Il présente l’avantage d’unir dans une même organisation les syndicats (7 représentants au Comité), l’I.L.P. (2 représentants), la Société fabienne (1 représentant), voire, très provisoirement, les marxistes de la S.D.F. (Socialist Democratic Federation, l’ancienne Democratic Federation). Seules des associations peuvent adhérer au L.R.C., qui n’a pour toute implantation locale que les sections de l’I.L.P. et de la Société fabienne. Le secrétaire du L.R.C. est James Ramsay MacDonald.

L’essor

La partie est loin d’être gagnée pour les tenants du travaillisme: un an après sa création, le L.R.C. compte 469 000 adhérents quand les syndicats en ont près de deux millions. Le puissant syndicat des mineurs, notamment, continue de faire cavalier seul. C’est alors que les maladresses du pouvoir établi vont renforcer involontairement le L.R.C. en en faisant l’instrument politique indispensable de la défense des droits syndicaux. Le droit de grève menacé par la jurisprudence de la Chambre des lords (affaire Taff Vale, 1901), les syndicats se tournent vers le L.R.C. pour sa défense: ses effectifs doublent en un an, il ouvre une caisse électorale alimentée par les syndicats membres (un penny par syndiqué) et réussit à faire élire, en 1906, une trentaine de candidats. Tant et si bien qu’en février 1906 le modeste comité exécutif se change en parti, le L.R.C. devient le Parti travailliste (Labour Party).

La participation travailliste au gouvernement d’union nationale de Lloyd George de 1916 à 1918 donne au parti une respectabilité certaine: le nombre de ses adhérents double et, aux élections de 1918, il obtient 2 245 777 voix et 57 sièges. Au lendemain de la guerre, les travaillistes renforcent leur organisation et précisent leur doctrine. Des sections de circonscription sont créées dans tout le pays et permettent désormais l’adhésion individuelle au parti, qui cesse d’être un parti strictement «indirect». Le travaillisme, dans le même temps, à l’inspiration de Sidney Webb, se prononce pour un nouvel ordre social fondé sur l’appropriation collective des moyens de production. De léger organe de liaison parlementaire et syndical, le Parti travailliste devient donc un vrai parti; de vague groupe de pression ouvrier au Parlement, il se mue en parti socialiste.

Ses progrès et le déclin du libéralisme ouvrent une ère d’incertitude politique dans un pays accoutumé au charme discret de la stabilité bipartisane: six élections et neuf gouvernements en treize ans, de 1922 à 1935. Parmi ceux-ci on remarque le premier gouvernement travailliste, présidé par Ramsay MacDonald, en 1924. Sa survie dépend des libéraux, et il servira davantage à accréditer la capacité des travaillistes à gouverner plutôt qu’à faire passer dans les faits leurs idées de réformes. Il en va de même du second cabinet travailliste, de 1929 à 1931. MacDonald, confronté à la grande crise économique et au chômage qu’elle entraîne, choisit finalement l’union nationale avec les conservateurs et les libéraux, provoquant la scission de son parti et sa propre expulsion du mouvement travailliste. George Lansbury, le nouveau leader, qui devra se démettre pour «pacifisme», et C. R. Attlee, son successeur, seront parmi les rares personnalités travaillistes fidèles à échapper au désastre électoral de 1931.

La Seconde Guerre mondiale, avec la participation au gouvernement d’union nationale de Churchill, permet au Parti travailliste de former une nouvelle génération d’hommes de gouvernement: Bevin, Morrison, Dalton, notamment, toujours autour d’Attlee. Celui-ci a l’honneur, en juillet 1945, après la victoire électorale des travaillistes, qui fut une surprise, de former le premier gouvernement travailliste majoritaire aux Communes et de jeter en cinq ans, de 1945 à 1951, les fondements d’une Grande-Bretagne nouvelle (welfare state , plein emploi, redistribution des richesses par l’impôt, nationalisations, etc.). Rejetés pour treize ans dans l’opposition, les travaillistes reviennent au pouvoir en 1964, avec Harold Wilson, et s’y maintiennent jusqu’en 1970, sans réussir à marquer, comme dans l’après-guerre, leur époque. Le travaillisme semble manquer d’un second souffle.

2. Structure et organisation

Dans la balance du pouvoir au sein de l’appareil travailliste, ce sont les syndicats qui pèsent le plus; il est vrai qu’ils financent 90 p. 100 du budget ordinaire et la quasi-totalité du budget extraordinaire – caisse électorale notamment – du parti. En 1970, sur 6 222 580 adhérents travaillistes, 5 518 520 – soit plus de 88 p. 100 – adhèrent au parti à travers leur organisation syndicale. Les syndicats, par le jeu des mandats proportionnels au nombre des adhérents et du vote bloqué, contrôlent le congrès et, à travers lui, l’exécutif du parti, le National Executive Committee de 28 membres (1 trésorier et 5 représentantes des femmes travaillistes, élus par l’ensemble du congrès; 12 représentants élus directement par les syndicats affiliés; 7 représentants des adhérents individuels; 1 représentant des sociétés socialistes et coopératives; 2 membres de droit, le leader et le leader adjoint). Cependant tout le pouvoir n’appartient pas aux syndicats: l’intergroupe parlementaire travailliste (Parliamentary Labour Party ) comprend depuis 1945 une majorité d’élus indépendants des syndicats; or le leader et son adjoint sont élus par lui et responsables devant lui seul. Les sections de circonscription (Labour Constituency parties ) ont, quant à elles, le pouvoir non négligeable de distribuer les investitures du parti, tant nationales que locales. Le leader travailliste, au bout du compte, prouve son savoir-faire et assoit son autorité selon l’habileté plus ou moins grande dont il fait preuve en jouant de ces divers centres de décision et des tendances multiples qui divisent par ailleurs le mouvement travailliste.

3. Idéologie, tactique et stratégie

Dans les deux dernières décennies, trois enjeux majeurs ont divisé le Parti travailliste: les nationalisations, le désarmement atomique et, plus récemment, le Marché commun. Hugh Gaitskell, en 1960-1961, n’avait pu convertir le parti à abandonner officiellement la clause IV de ses statuts sur l’appropriation collective des moyens de production, et à se rallier, après le Sozialdemokratische Partei Deutschlands (S.P.D.), à l’idéal réformiste d’une société mi-capitaliste, mi-socialiste; il avait réussi, en revanche, à faire revenir le Congrès travailliste sur sa décision de réaliser, une fois au pouvoir, le désarmement atomique unilatéral de la Grande-Bretagne. Wilson, qui a succédé à Gaitskell après la mort de celui-ci en 1963, n’a pas pu empêcher déchirements et indiscipline des élus travaillistes sur le problème de l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché commun; il a toutefois évité que ces décisions n’entraînent l’éclatement d’un mouvement dont les membres, quels que soient leurs griefs réciproques, se sentent finalement plus proches les uns des autres que de l’adversaire commun conservateur. Parti socialiste, mais pragmatique et profondément attaché à la démocratie, le Parti travailliste britannique se réfère moins qu’aucun autre parti socialiste à la conscience et à la lutte de classes: «Nous sommes un parti socialiste démocratique, proclame d’entrée son manifeste de 1972, et fiers de l’être. Nous plaçons les principes démocratiques et socialistes au-dessus des considérations de classe et d’économie de marché» (Labour’s Programme for Britain ).

Défenseur de la justice sociale, parti ouvrier, le Parti travailliste ne se veut pas plus qu’il n’est le parti de la classe ouvrière britannique. Si les trois cinquièmes ou les deux tiers de celle-ci votent travailliste, il n’en reste pas moins, en effet, qu’un électeur conservateur sur deux est un ouvrier. Le Parti travailliste pouvait hésiter entre deux stratégies: tenter d’élargir son audience dans le monde ouvrier ou rallier davantage d’électeurs des classes moyennes, quitte à modifier son image traditionnelle de parti des faibles et des opprimés. C’est ce qu’il fait depuis 1959, sans reculer devant un certain embourgeoisement: 83 p. 100 des députés travaillistes, en 1931, étaient des ouvriers; ils n’étaient plus que 37 p. 100 en 1951, 32 p. 100 en 1964 et 26 p. 100 seulement en 1970.

Au total, le travaillisme en Grande-Bretagne, sans cesser d’être un idéal quasi religieux pour certains Britanniques, se colore d’un rien de technocratisme. «Dans les années trente, déclare Wilson en 1963, les enjeux politiques étaient clairs: le chômage, les signes extérieurs de richesse, l’Espagne, la politique de paix. Les questions politiques d’aujourd’hui sont plus complexes et techniques. Un bon politicien doit tenir moins du prophète et davantage du technicien.» Les idées socialistes, dès lors, acquièrent une audience potentielle plus vaste. Mais l’adhésion au travaillisme semble dans le même temps perdre de son intensité et de sa pérennité. Le socialisme wilsonien de l’automation peut difficilement avoir la même résonance que le messianisme non conformiste d’antan.

4. Les travaillistes et l’Europe

Longtemps hostiles à l’entrée de la Grande-Bretagne dans le Marché commun, d’autant que la première candidature britannique était le fait des conservateurs (1962-1963), Wilson et le Parti travailliste se convertissent à l’idée européenne en 1967, se heurtent au second veto du général de Gaulle, et retournent peu à peu à une attitude de refus, que le succès électoral, puis européen, de l’adversaire conservateur n’est pas sans conforter. Dès 1967, les anti-européens reprennent l’offensive dans le parti, s’appuyant sur les syndicats qui craignent que l’Europe n’amène avec elle en Grande-Bretagne qu’inflation et chômage. En 1969 encore, cependant, le Congrès travailliste est largement favorable à l’adhésion. En 1970, après la défaite électorale, il se divise en deux blocs de force presque égale, mais Wilson s’en tient à la ligne européenne choisie trois ans plus tôt. Début 1971 plus de cent députés travaillistes, conduits par sept anciens ministres, un ancien chief whip et le président du parti – Iain Mikardo –, signent une motion hostile au Marché commun; en juillet, après la publication du livre blanc conservateur sur l’adhésion, les diverses instances du parti, puis un congrès extraordinaire rejettent l’adhésion aux conditions acceptées par Edward Heath: Wilson a rejoint les adversaires de l’Europe. Les travaillistes favorables à l’adhésion dans les conditions négociées par les conservateurs sont condamnés à se renier en rompant avec leur politique européenne, tels Anthony Crosland et Denis Healey, au nom de l’unité du parti, ou en suivant les conservateurs sur ce problème, comme Roy Jenkins, George Thomson ou George Brown, au nom de l’Europe. Leur position est inconfortable, mais celle du parti tout entier, profondément divisé par l’enjeu au niveau des élus, sinon des militants, n’est guère enviable non plus.

5. Le travaillisme dans les pays du vieux Commonwealth

Australie, Canada, Nouvelle-Zélande et Afrique du Sud se sont largement inspirés du modèle politique britannique: gouvernement de cabinet, démocratie parlementaire, partis à vocation majoritaire. Le travaillisme s’y est donc acclimaté sans problème. À dire vrai son implantation dans certains États de l’Australie est même antérieure à son apparition en Grande-Bretagne: les immigrants y avaient apporté les idées chartistes et en avaient tiré plus tôt qu’à Londres les conséquences politiques. Au début du siècle, ce travaillisme des antipodes est associé à l’idée d’affranchissement politique effectif des masses et à celle de centralisation dans des États fédéraux, comme l’Australie et le Canada, ou qui ont à peine cessé de l’être, tels l’Afrique du Sud et la Nouvelle-Zélande. La venue de partis travaillistes solidement structurés amènera, selon un processus classique, leurs concurrents conservateurs ou libéraux à moderniser leur propre organisation et aboutira à l’instauration d’un système bipartisan à l’anglaise en Australie (travaillisme contre coalition agrario-libérale) et en Nouvelle-Zélande (travaillisme contre nationalistes). Il n’en est pas de même au Canada ou en Afrique du Sud.

Le Parti travailliste australien (Australian Labour Party) a été fondé, comme son équivalent britannique, par les syndicats. Sa structure, cependant, reflète la structure fédérale du pays: l’organisation au niveau des États est l’échelon le plus important du parti; on y tient congrès, on y élit un comité exécutif et un bureau central, on y choisit six délégués pour le Congrès fédéral travailliste réuni tous les deux ans – en dehors de la presse jusqu’en 1965. Le leader travailliste a moins de pouvoir qu’il n’en aurait en Grande-Bretagne; c’est le groupe parlementaire, notamment, qui détermine par un vote la composition du gouvernement quand le travaillisme est au pouvoir. Parti réformiste, l’Australian Labour Party a gouverné presque sans interruption de 1905 à 1914, jetant les fondements d’un welfare state (politique d’éducation, journée de travail de 8 heures, assistance sociale, fiscalité renforcée) et pratiquant vis-à-vis de l’extérieur le protectionnisme économique. Il gagne de nouveau les élections de 1915, 1929 et 1941. Au cours de cette dernière période, il radicalise son programme et nationalise les banques en 1947. Mais il perd les élections et le pouvoir en 1949 pour ne le retrouver qu’en 1972, après vingt-trois longues années d’opposition. Son programme reste marqué d’un fort accent nationaliste et centralisateur: le Premier travailliste, M. Whitlaw, s’est davantage engagé à limiter l’immigration et à renforcer le pouvoir fédéral qu’à faire progresser l’Australie dans la voie du socialisme.

Le Parti travailliste néo-zélandais (New Zealand Labour Party) a eu, pour la première fois, seul les responsabilités du pouvoir en 1935, après avoir participé en 1928 à un gouvernement de coalition. Battu aux élections de 1949, comme les travaillistes australiens, il reviendra au pouvoir plus tôt, en 1957, se retrouvera dans l’opposition dès 1960 avant d’être de nouveau maître des destinées de la Nouvelle-Zélande en 1972. Sa structure est très proche de celle du Parti travailliste britannique.

En Afrique du Sud et au Canada, le travaillisme n’a pas réussi à devenir un parti majoritaire. Le South African Labour Party a bien contribué à un gouvernement de coalition, dans les années vingt, mais il n’a pas résisté à la force du courant raciste après la Seconde Guerre mondiale. Sa défense pourtant prudente et limitée des droits politiques des Noirs l’a perdu: depuis 1958 il a pratiquement disparu de la scène politique après avoir perdu tous ses sièges au Parlement de Pretoria. Quant au travaillisme canadien, il est né en 1932 des efforts d’organisation politique d’associations de fermiers et de syndicats ouvriers – sous le nom de Cooperative Commonwealth Federation. Pacifiste et socialiste, il n’eut le pouvoir que dans l’État de Saskatchewan, de 1944 à 1965. En 1961, la C.C.F. s’est fondue dans le Canadian New Democratic Party, qui réussit à obtenir le discret soutien de la plus grande centrale syndicale canadienne, la Canadian Labour Federation.

Encyclopédie Universelle. 2012.

Игры ⚽ Нужен реферат?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • FRANCE - Analyse institutionnelle et politique (1945-1970) — À partir du mois de mai 1947, moins de trois ans après la Libération, deux ans après la capitulation allemande, la France commence à retrouver ses structures et ses habitudes politiques antérieures à la Seconde Guerre mondiale. Née dans les… …   Encyclopédie Universelle

  • Jacques Chirac — « Chirac » redirige ici. Pour les autres significations, voir Chirac (homonymie). Jacques Chirac …   Wikipédia en Français

  • GRANDE-BRETAGNE - Histoire — L’espace géographique britannique n’a pas coïncidé, pendant longtemps, avec une réalité politique. Sans évoquer immédiatement les divisions tribales qui frappèrent un César, pourtant bien préparé par sa conquête de la Gaule à rencontrer des… …   Encyclopédie Universelle

  • NORVÈGE — Extrêmement compartimentée par la nature, la Norvège ne tire pas son nom d’une formation politique, mais de l’itinéraire maritime qui en faisait l’unité (vieux norrois: Nordhrvegr , «le chemin du Nord»). Sauf les Lapons de l’extrême Nord, ses… …   Encyclopédie Universelle

  • NOUVELLE-ZÉLANDE — À l’écart des grands mouvements économiques et géopolitiques mondiaux, la Nouvelle Zélande a longtemps souffert de la «tyrannie de la distance». Sa taille limitée (270 534 km2, avec 3 427 796 hab. en mars 1991), son isolement au sud est de… …   Encyclopédie Universelle

  • politique — 1. politique [ pɔlitik ] adj. et n. m. • 1361; lat. politicus adj., du gr. politikos « de la cité (polis) » I ♦ Adj. A ♦ Relatif à la cité, au gouvernement de l État. 1 ♦ Vx Relatif à la société organisée. ⇒ civil(opposé à naturel), public(opposé …   Encyclopédie Universelle

  • 4e République — Quatrième République Quatrième République République française ← …   Wikipédia en Français

  • 4ème république — Quatrième République Quatrième République République française ← …   Wikipédia en Français

  • Anarchie politique — Anarchisme Illustration du livre Le principe anarchiste de Pierre Kropotkine (1913) L anarchisme est un courant de philosophie politique développé depuis le XIXe siècle sur un ensemble de théories et …   Wikipédia en Français

  • Anarchisme — Illustration du livre Le principe anarchiste de Pierre Kropotkine (1913) L anarchisme est un courant de philosophie politique développé depuis le XIXe siècle sur un ensemble de théories et pratiques anti autoritaires …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”